Le sujet
Depuis janvier, les 50 défiboiseurs planchent sur l’un des sujets les plus complexes, mais aussi les plus poétiques, depuis la création des Défis du Bois.
Nous découvrirons 10 microarchitectures singulières, en lien avec la nature et le paysage...
Mais, pour tout savoir il faudra attendre le 19 mai !
C’est au programme
Le site des Défis est ouvert au public tous les jours de 9h à 12h et de 14h à 17h
Une exposition sur le chocolat / « Cabosses, cacoa et chocolat »
Mise à disposition par le Jardin Botanique de Nancy ouverte au public de 9h-12h et 14h-17h
Conférences à 20h grand amphithéâtre de l’ENSTIB libre et gratuite
- Mardi 22 mai 2018 « La transition numérique chez les Compagnons du Devoir et du Tour de France » par Josselin GAC et Fabien LE QUELLEC
- Jeudi 24 mai 2018 « Sur les traces de Bougainville » par Frédéric PAUTZ directeur du Jardin Botanique de Nancy
C'est en cours
Avant projet
Conception du plan des structures
Le parrain : DENIS CHEISSOUX

Cette 14ème édition des Défis du Bois 3.0 est parrainée par Denis Cheissoux.
Vélo, sac à dos, magnéto, radio... les passions de Denis Cheissoux riment sur France Inter, où depuis plus de 30 ans l’amoureux de la nature donne rendez-vous à ses auditeurs (« L’oreille en coin », « L’as-tu lu mon p’tit loup », « Hexagonale poursuite», « Chassez le naturel », « Tout s’explique »…). Membre des Journalistes Écrivains pour la Nature et l’Environnement, Président de la Commission nationale de terminologie de l’Environnement, Denis entre-deux cyclo reportages, sillonne les chemins de traverse de la télévision et collabore à « Terre Sauvage ». « CO2 mon amour » a reçu le Prix 2008 de la meilleure émission de la Communauté des Radios francophones publiques.
Denis Cheissoux fut aussi l’ami fidèle du lorrain Jean-Marie Pelt, qui aimait beaucoup les Défis du Bois.
Nos partenaires
Les organisateurs des Défis du Bois 3.0 disent un grand MERCI aux partenaires, institutionnels et industriels, qui soutiennent la manifestation.
Sans ces soutiens, les Défis du Bois 3.0 ne pourraient pas poursuivre l’expérience, qui permet, depuis 2005, de construire le monde de demain, à Epinal.