Les défis en 3 mots
C'est en cours
Le grand jour
Ce samedi matin, les étudiants et techniciens de l'ENSTIB ont travaillé dur, pour que la Halle Technique et les extérieurs du Campus soient impeccables, avant le passage du jury. Il fait chaud, mais chaque équipe présente sa réalisation, devant un parterre de passionnés. Plus tard, après les délibérations du jury, c'est enfin la remise des prix. Toutes les équipes peuvent être fières du travail accompli. Retrouver le palmarès.Passage du jury
Passage du Jury avant la remise des prix.Jour 7
Pour cette dernière journée de travail, les 50 Défiboiseurs voient la vie en Vosges. C'est la veille du passage du jury et chaque équipe est bien consciente des heures qui filent et de la tâche, plus ou moins importante, qu'il lui reste à accomplir... La fatigue est bien présente, mais certains devront travailler une bonne partie de la nuit. Du côté des encadrants et de l'équipe technique, la concentration est de mise, pour veiller à ce que tous aillent au bout de leur construction.Jour 6
Quelques nuages apportent un peu d’ombre aux Défiboiseurs, qui vivent leur avant dernier jour de construction. Si certains sont dans les temps, d’autres devront veiller tard ce soir et demain, pour être prêt samedi, avant le passage du jury. La concentration est de mise, dans la halle technique comme sur le parking du Campus Bois, où 7 des Microfolies sont déjà installées. La journée sera longue, car après l’ouverture au grand public à l’occasion de la Nocturne, les équipes pourront encore travailler.Jour 5
Aujourd'hui Défiboiseurs, services techniques et encadrants sont aux couleurs d'épinal la belle image, la marque territoriale de la Communauté d'Agglomération, commanditaire du projet 2023. 3 équipes travaillent encore dans la halle technique, où elles resteront jusqu'à la remise des prix, alors que les 7 autres sont dehors, sur le parking de l'école. L'ENSTIB est une ruche, où s'activent 50 Défiboiseurs concentrés, qui sur le montage d'un mur, qui sur l'élévation d'une charpente, alors que les encadrants préparent déjà la remise des prix. Chacun sait que le temps presse ! Compagnons, architectes et ingénieurs travaillent de concert et les projets prennent forme, désormais tous identifiables.Jour 4
Les enfants d'une école primaire découvrent émerveillés les maquettes des 10 projets, avant d'aller visiter le chantier des Défis, sous la houlette de Caroline Simon et Denise Choffel, enseignantes à l'ENSTIB. Chacun d'entre eux vote pour son projet préféré, qui recevra samedi le Prix des Enfants. Parmi les visiteurs du jour, Laurent Bléron, directeur de l'école, accueille la Rectrice déléguée pour l'Enseignement supérieur, la Recherche et l'Innovation, tandis qu'une classe de l'INSPE profite d'une visite guidée, par un élève ingénieur. Et au milieu du public, les 10 équipes s'activent, montent des murs, fixent des cloisons, débutent un bardage audacieux, sous les objectifs des journalistes (merci à eux).Jour 3
Une partie du lundi est consacrée à la formation aux échafaudages, suivie attentivement par les casques rouges, en charge de la sécurité. Pendant ce temps, les équipes s'activent, entre la halle technique et l'extérieur, où patientent les remorques, qui transporteront d'ici quelques jours les 10 Microfolies. Nous n'en sommes pas encore là ! Néanmoins, les structures prennent forme. Un mur s'élève, tandis que d'autres équipes travaillent sur leur plancher et que d'autres préparent bardages et éléments de décor... Attentifs, les enseignants vont d'un chantier à l'autre, toujours prêts à donner un conseil.Jour 2
C'est un dimanche sous le soleil, qui met les équipes au travail dans la Grande Halle, mais aussi, pour certains à l'extérieur. Quelques visiteurs viennent découvrir en famille ou entre amis, le début des constructions, même si pour l'instant, rien ne ressemble encore à un village d'itinérance culturelle ! Les équipes sont au travail, concentrées. Chacun sait qu'il n'y aura que 7 jours pour aller au bout du projet. Les encadrants et les services techniques sont à leur côté, du matin au soir, pour apporter coups de main et conseils avisés, tandis que le responsable sécurité observe, prêt à intervenir en cas de non respect des règles.Jour 1
Le lancement des Défis du Bois 3.0 a permis la découverte de 10 projets de microarchitectures nomades "Les pixels passagers", un village d'itinérance culturelle, qui voyagera sur tout le territoire de la Communauté d'Agglomération, partenaire de cette 18ème édition de la manifestation. Cette dernière a souhaité mettre en place le dispositif “Micro-Folie” sur son territoire, dans l’objectif de rendre la culture accessible à tous. Véritable outil au service de l’éducation artistique et culturelle, ce projet est porté par le Ministère la Culture et coordonné par La Villette, parc culturel parisien. Equipés comme il se doit, nos Défiboiseurs porteront les couleurs du territoire, avec Epinal la belle image et Je Vois la Vie en Vosges.Avant projet
En janvier et février 2023, les Défiboiseurs ont partagé deux weekends de travail, sur le Campus Bois de l'ENSTIB. Une équipe pédagogique pluridisciplinaire les encadre et les accompagne durant la préparation de leur projet, à raison d’un rendez-vous hebdomadaire. Depuis le lancement du projet, les étudiants travaillent sur une plateforme collaborative, où ils peuvent déposer leurs travaux et bénéficier d’un suivi automatique.
Les Joli(e)s Mômes, marraines 2023
Cette année, ce sont les Joli(e)s Mômes, qui sont les marraines des Défis, représentées par Louise Fetet, directrice artistique, comédienne, auteur et metteur en scène.
Les Joli(e)s Mômes croient en un théâtre populaire et voyageur qui se déplace et va à la rencontre du public et font, de ce fait, le choix de se déplacer dans les villages des Vosges et dans des lieux inhabituels.
Pour ce faire la compagnie propose des spectacles populaires et de qualités, créés par des professionnels tout au long de l’année.
À travers le dispositif « La culture est dans le pré », la compagnie propose des spectacles à tous ceux qui veulent faire des spectacles là où il n’y en a pas et qui pensent que le spectacle vivant est un moyen extraordinaire de rassembler, brasser, s’aérer.
Si le premier métier de la compagnie est de créer des spectacles, tout public, elle croit en un théâtre, qui ne peut pas se contenter des théâtres et circuits conventionnels.
Aussi son deuxième métier est d’accompagner des territoires ruraux dans la construction de projets culturels de proximité, là où il n’y a que peu de culture.
Son troisième métier est d’organiser et d’intervenir pour des ateliers-théâtre, rejoignant un objectif d’éducation populaire, pour transmettre.